Time To Tell Chronographs for collectors

La véritable histoire de Zodiac

18 février 2024

Par Joël Pynson.

La Zodiac Watch Co. fait partie de ces entreprises horlogères suisses qui ont plusieurs fois changé de mains et dont l'histoire est difficile à retracer.

Zodiac existe toujours mais l'historique disponible sur le site internet de la société actuelle est assez fantaisiste[1].

L'essentiel des informations actuellement disponibles sur l'Internet semble provenir d'un article de la revue The Swiss Watch de 1957, rédigé pour les 75 ans de l'entreprise[2]. C'est le cas par exemple sur Wikipédia[3], ou sur plusieurs sites américains[4] car l'article était également rédigé en anglais.

Mais l'article comporte de nombreuses erreurs et omissions. Il faut donc se plonger dans les archives horlogères pour tenter de reconstituer l'histoire de Zodiac et de la famille Calame du Locle.

  1. La dynastie Calame

Ariste Calame père a installé un petit atelier d'établissage au Locle en 1882. Il assemble des montres pour d'autres fabricants, comme Favre Perret[5]. Son fils, également prénommé Ariste, le rejoint en 1895. C'est un excellent horloger : il a été formé à l'école d'horlogerie du Locle et c'est un élève de Jules Grossmann[6]. Il ne craint donc pas les montres compliquées et il dépose d'ailleurs un brevet sur un système de répétition en 1898[7].

En 1899 l'entreprise déménage rue du Marais, et un an plus tard Ariste Fils en prend la direction. Les affaires se développent : en 1901 c'est le dépôt de la marque Zodiac, et en 1908 c'est la construction de la première fabrique Zodiac du Locle, rue Bellevue. Il y a alors une vingtaine d'ouvriers.

1915

Ariste fils prend une décision importante vers 1915 : désormais l'entreprise va fabriquer ses ébauches[8]. À cette époque la production est de 100 montres par jour, montres de poche bien sûr, mais aussi des montres-bracelets dont des modèles sont déposés en 1915.

En 1922, René, fils d'Ariste, formé au Technicum du Locle, rejoint l'entreprise. On y produit désormais des montres ancre « soignées » de 8 à 19 lignes, en or et en argent qu'on exporte de plus en plus au Japon qui achète des montres non siglées. Le Japon est alors le 4ème marché pour les montres suisses, derrière les Etats-Unis, l'Allemagne et la Grande-Bretagne[9].

En 1928 la société prend le nom de Manufacture d'Horlogerie Zodiac[10].

1930

1930 est une année paradoxale pour Zodiac. En plus de son magnifique calibre 16 lignes ultra-plat, elle sort un remarquable calibre rectangulaire 8 jours de seulement 32 x 21 mm, développé avec la Manufacture Angélus, également installée au Locle. Ariste fils avait en effet épousé Mathilde Stolz, soeur des frères Stolz, à l'origine de la Manufacture Angélus. Mais 1930 correspond aussi aux débuts de la grave crise économique qui va frapper l'industrie horlogère, avec une conséquence désastreuse pour Zodiac : le Japon ferme ses portes aux importations.

Les Calame en sont réduits à vendre eux-mêmes leurs montres[11] : « Il fallut repartir pratiquement à zéro. La fabrication d'ébauches fut abandonnée, l'atelier vendu. Mon père et moi, notre collection sous le bras, nous partîmes vendre des montres aux horlogers de Suisse et de France. » Mais une décision est alors prise qui sera salutaire : c'est l'instauration d'une politique de marque : toutes les montres s'appellent désormais Zodiac. D'ailleurs, en 1933 l'entreprise devient Zodiac SA.

En 1934 Ariste Calame fils devient vice-président de l'Association des Fabricants d'Horlogerie du district du Locle.

1934

Lorsque toutes les entreprises souffrent, il faut savoir parfois être opportuniste. La Fabrique Election est en grande difficulté et Zodiac rachète ses brevets pour un système antichoc. En 1929 en effet c'est la société Les Fils de L. Braunschweig, Fabrique Election à La Chaux-de-Fonds, qui avait breveté[12] un système protégeant à la fois des chocs axiaux et latéraux. C'est probablement le premier système antichoc à avoir été industrialisé puisqu'il a équipé les montres Election dès 1930[13]. Zodiac en fera un argument de vente en 1934 en qualifiant ses montres d'« incassables ». Cette appellation un peu optimiste fut remplacée en 1937 par « Incasécurit ».

1936

1937

1941

À partir de 1935 les affaires reprennent progressivement et la deuxième Guerre Mondiale n'enrayera pas la progression : 1936, premières montres étanches, ce qui donnera une indéniable expérience à l'entreprise par la suite ; 1940, premiers chronographes, premières montres automatiques ; 1941, premières montres calendrier, premiers chronomètres et premiers chronographes étanches.

En 1943 Zodiac revendique être fournisseur attitré des PTT et des Chemins de Fer suisses[14].

1945

En 1945, Zodiac introduit un système stop seconde qui sera régulièrement utilisé par la suite : par simple pression sur la couronne de remontoir, l'aiguille des secondes est bloquée, ce qui permet une mise à l'heure précise[15].

1945 est également l'année où Maurice Calame, frère de René, entre dans l'entreprise[16]. Chargé de la direction commerciale il va rapidement développer un réseau performant de distributeurs dans le monde, en particulier aux Etats-Unis. Le marketing se modernise avec des campagnes de publicités internationales.

1949

En 1948 Zodiac fait sensation en présentant l'Autographic, première montre automatique avec réserve de marche, dont les brevets[17] sont déposés en association avec la Manufacture LeCoultre du Sentier. Il peut paraître surprenant qu'un établisseur, contraint du fait du Statut Horloger de se fournir auprès d'Ébauches SA, puisse ainsi innover, y compris en s'associant avec une Manufacture. René Calame s'en explique quelques années plus tard : « Nous disposons d'une latitude considérable grâce à une collaboration étroite avec Ébauches SA. Parfois nous faisons nos propres plans et demandons à Ébauches de fabriquer des calibres pour lesquels nous avons des brevets. Notre calibre avec indicateur de réserve de marche est un excellent exemple de cette collaboration[18]. »

 

Nouvelle usine et ateliers en 1951

1951 est une année faste pour Zodiac qui inaugure une nouvelle usine ultra-moderne, construite à flanc de côteau, au-dessus de la gare du Locle[19]. C'est un bâtiment très élégant, œuvre de l'architecte Paul Davoine, légèrement en porte à faux sur la pente du terrain, ce qui lui donne un aspect très aérien. À l'intérieur, les vastes ateliers aux grandes baies vitrées abritent des postes de travail ergonomiques offrant les derniers perfectionnements techniques.

1954

En 1952, Zodiac sort deux nouveaux modèles : le Captain et le Glorious. Le Captain eut une existence assez brève, probablement du fait que la marque Captain avait déjà été déposée par Zenith en 1945[20]. C'est aussi à partir du début des années 1950 que Zodiac a commencé la production en série de chronomètres, testés dans les bureaux officiels de contrôle.

En 1953 Ariste Calame, qui peut être fier du travail réalisé, se retire de la société. Il décèdera deux ans plus tard.

1954

En 1954 Zodiac décide d'appliquer sur le cadran de ses montres un nouvel emblème : une croix cerclée appliquée en relief. Il semble que cette décision ait été prise pour lutter contre de nombreuses contrefaçons de la marque Zodiac apparues dans le monde[21]. En 1957 la production est de 80 000 montres par an. L'année d'après, Zodiac présente à la Foire de Bâle l'un de ses modèles les plus emblématiques : la montre de plongée Sea Wolf.

1959

En 1958, sous l'impulsion de René Calame, se créé la CHP (Communauté d'Horlogerie de Précision). La CHP regroupe 9 fabricants d'horlogerie indépendants qui ont décidé de mettre en commun les efforts nécessaires à la fabrication et à l'amélioration technique des montres. Il s'agissait de Doxa, Ernest Borel, Ebel, Eberhard & Co., Favre-Leuba, Girard-Perregaux, Heuer, Juvénia et donc Zodiac[22].

Ce système de réglage fin de la raquette a été développé pour les membres de la CHP

Agrandissement de l'usine en 1964

En 1961, Pierre, fils de René, entre dans l'entreprise. C'est à peu près à cette date que Zodiac a lancé quelques rares montres « électriques ». Il s'agissait de montres équipées du calibre électrique Landeron 4750, mouvement avec balancier spiral entretenu par un champ électromagnétique intermittent, comme chez Hamilton et Lip.

En 1964 l'usine du Locle est agrandie. Techniquement la fréquence d'oscillation des calibres mécaniques passe de 18 000 à 21 600 A/h, ce qui renforce la production de chronomètres en série[23]. L'augmentation de la fréquence d'oscillation va se poursuivre en 1967 grâce à la CHP qui est impliquée dans le développement des calibres à 36 000 A/h[24].

1967

1968

Zodiac pourra donc sortir en 1967 sa gamme « Kingline 36 000 », rebaptisée un peu plus tard « SST 36 000 » (pour Split Second Timing). Mais Zodiac s'intéresse aussi à l'électronique et lance la même année sa montre électronique à balancier « Spacetronic ». Malheureusement la Spacetronic est un échec : le calibre Dynotron est fourni par Ébauches SA à de multiples sociétés qui cassent les prix et Zodiac doit brader ses montres électroniques[25].

Zodiac fait partie des toutes premières sociétés suisses à proposer une montre à quartz dès 1970, grâce à l'adoption du calibre béta 21 développé par le CEH (Centre Electronique Horloger) et commercialisé par plusieurs autres fabricants comme Universal, Ebel, Jaeger-LeCoultre, etc. C'est aussi en 1970 que Zodiac présente le modèle Astrographic au design très avant-gardiste.

1971

Cette période correspond en Suisse à la création de nombreux regroupements d'entreprises d'horlogerie, pour se renforcer face à la concurrence étrangère. Citons par exemple les Manufactures d'Horlogerie Suisses Réunies (MSR) qui regroupent Buser, Phenix, Revue et Vulcain, ou l'impressionnante General Watch Holding qui comprend Certina, Edox, Era, Eterna, Mido, Oris, Rado et Technos. Zodiac est bien sûr sollicitée, mais la volonté d'indépendance est farouche : « Une maison comme Zodiac a beaucoup à offrir sur le plan de ses relations, de son expérience, de sa renommée, et ne peut consentir à sacrifier une partie de sa liberté qu'en échange d'apports aussi concrets, tant sur le plan technique que commercial[26]. » Il faut dire aussi que la société se porte bien : en 1971 elle produit 200 000 montres et a 150 employés. Sa répartition sur les marchés est alors la suivante : USA 35%, Europe 30%, Asie 20%[27].

En 1972, Pierre Calame prend la direction de Zodiac. La part du marché américain augmente vite ce qui expose fortement l'entreprise : en 1973 c'est 40% des ventes qui sont faites aux USA, ce sera 50% en 1975. Or ce marché est en plein bouleversement avec l'arrivée de montres à quartz bon marché, vendues non pas par des fabricants d'horlogerie mais par des industriels de l'électronique comme Texas Instrument ou National Semiconductor. De plus le dollar s'effondre et perd 33% par rapport au franc suisse[28].

1974

Pour tenter de résister, en 1975 Zodiac intègre Horelec avec SGT, Aetos, Camy, Enzo, Ogival, Kelek, Eska, Catena et Gramex[29]. Le but est de produire un calibre quartz suisse abordable. Pierre Calame est lucide : « On mentionne couramment les handicaps principaux qui rendent la vente des montres suisses difficiles, et l'on retient : une crise économique généralisée et un coût du franc suisse beaucoup trop élevé. La raison qui, cependant, est souvent passée sous silence et qui doit être mentionnée, est : un retard technologique considérable[30]. »

En 1976, alors que Zodiac présente à la Foire de Bâle les premiers chronomètres quartz LCD[31] (avec Wittnauer et Yves Saint Blaise), le distributeur de Zodiac aux Etats-Unis fait faillite[32]. Le coup est trop rude pour Zodiac qui tente désespérément une reconversion dans la montre de luxe, mais qui est rachetée par Dixi en 1978[33]. C'est la fin de la dynastie Calame. La marque est progressivement mise en sommeil.

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Dixi, bien connu comme fabricant de machines pour l'horlogerie, était en fait un groupe très diversifié avec des intérêts dans les compresseurs, les instruments de mesure, l'armement, les meubles et même l'horlogerie grâce au rachat de la société Paul Buhré en 1963. Dans les années 1970 le pôle horloger de Dixi est devenu impressionnant avec le rachat/sauvetage de pas moins de 6 entreprises pour la plupart au Locle : Robert Cart, Henry Moser & Cie, Jean Perret, Luxor, Zénith-Movado et Zodiac.

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1991

En 1989 La marque est rachetée à Dixi par Willy Monnier, ancien directeur général d'Heuer. Paul Castella, qui dirige Dixi, reste dans le conseil d'administration et il est prévu que les montres soient fabriquées par Zénith, l'une des sociétés de Dixi[34]. Les montres sont classiques, tendance « chic et sport » mais fortement inspirées de designs concurrents. Les résultats ne sont pas à la hauteur des espérances : en 1997 Montres Zodiac SA fait faillite[35]. La marque est à nouveau mise en sommeil.

En 2002 l'entreprise américaine Fossil Inc. rachète et relance la marque Zodiac qui est toujours active aujourd'hui.

  1. Des modèles qui ont fait date

Dans les années 1950 Zodiac va se démarquer de ses concurrents par la création de modèles originaux aux designs très typés, dont certains sont aujourd'hui recherchés par les collectionneurs.

Le modèle Autographic de 1949 se distinguait certes par sa réserve de marche à 6h[36], mais le design de la boîte et des aiguilles était très classique.

Zodiac Captain

1953

En 1952 Zodiac inaugure une série de créations placées sous le signe « Nouveau visage de la montre[37] ». C'est d'abord le modèle Captain dont la partie centrale du cadran est bombée alors que la périphérie, en émail, est plate avec des index hauts reliefs. Mais c'est surtout le modèle Glorious avec ses gros index surélevés en périphérie qui donnent un aspect en 3 dimensions au cadran. Une version Autographic de la Glorious est sortie en 1955, et une version avec la date en 1956.

1955

1957

Si le modèle Datographic de 1955 est très classique, automatique avec date par guichet, ce n'est pas le cas du modèle Pharaon de 1957 : cette montre originale comporte les douze signes du zodiaque en périphérie du cadran.

Calibre automatique avec réglage fin CHP

C'est à la Foire de Bâle de 1958 que Zodiac présente sa montre qui est aujourd'hui la plus célèbre : la Seawolf. C'est une montre de plongée automatique en acier, avec lunette tournante, étanche à 100 m. Elle a été développée en collaboration avec le laboratoire du Cdt Cousteau[38]. Plusieurs sources donnent 1953 comme année de naissance de ce modèle[39]. Cette date n'est pas innocente puisque c'est celle de la sortie de deux montres de plongée iconiques : la Rolex Submariner et la Blancpain Fifty Fathoms. Mais aucune référence n'est donnée pour affirmer cette date. En fait, selon l'entreprise elle-même, la conception de cette montre aurait débuté en 1955 et les premiers modèles auraient été commercialisés en 1956[40]. La présentation à Bâle en 1958 signifie probablement que la montre a subi des modifications avant sa présentation officielle, ce qui n'est pas surprenant pour une montre technique destinée à des professionnels.

1960

En 1959, alors que la Seawolf voit son étanchéité améliorée pour atteindre 200 m, sort le modèle New-Look, asymétrique, à aiguille des heures partiellement transparente. Ce modèle sera rebaptisé Olympos en 1960.

Vers 1965 les montres Zodiac vont aussi comporter des particularités techniques qui les différencient des autres marques. Elles ont en effet des mouvements à fréquence élevée (21 600 A/h au lieu de 18 000), une raquette de réglage originale, et un système stop seconde en tirant sur la couronne.

Aerospace GMT

En 1967, Zodiac adopte les hautes fréquences grâce à son appartenance à la CHP. Ce sera la ligne Kingline 36 000 qui sera appelée plus tard SST 36000. Cette même année sort l'Aerospace GMT avec aiguille et lunette tournante 24h pour un deuxième fuseau horaire.

Chronographe Sea-Chron

1968 est une année faste pour Zodiac avec la sortie de plusieurs modèles remarquables : le chronographe étanche Sea-Chron, et surtout la Super Seawolf étanche à 750 m et sa version chronographe Super Seawolf également étanche à 750 m !

1975

En 1970 Zodiac présente un nouveau modèle original : l'Astrographic. Les aiguilles sont imprimées sur des disques transparents et un point rouge pour les secondes semble flotter sur le cadran. Ce sera la dernière montre originale de Zodiac : les montres à quartz seront assez banales, malgré un travail louable de design avec un créateur indépendant[41].

 

Remerciements

La plupart des archives horlogères ont été consultées au Musée International d'Horlogerie de La Chaux-de-Fonds et je remercie chaleureusement le conservateur du Musée, M. Régis Huguenin et son équipe pour leur accueil.

Les archives de la Fédération Horlogère, du Davoine et de l'Impartial sont disponibles en ligne sur www.doc.rero.ch

 

[1] https://www.zodiacwatches.com/en-us/zodiac-legacy/

[2] The Swiss Watch, 1957, 7, pp 31 ss

[3] https://en.wikipedia.org/wiki/Zodiac_Watches#cite_note-6  consulté en février 2024

[4] Par exemple : https://expertswatches.com/pages/zodiac-swiss-1882-watches

[5] The Swiss Watch, 1957, 7, p. 34

[6] Revue Internationale d'Horlogerie, 1930, 18, p. 207

[7] Brevet CH 16959A

[8] L'Impartial, 13 avril 1972, p.17

[9] La Fédération Horlogère, 1928, 8, p.1 – Accessible sur Rero.doc

[10] La Fédération Horlogère, 1928, 8, p.7 – Accessible sur Rero.doc

[11] Journal Suisse d'Horlogerie, 1957, 5-6, pp 190-194. Accessible sur The Watch Library

[12] Brevet CH 141098

[13] Revue Internationale d'Horlogerie, 1930, 4, p. 37-39

[14] La Fédération Horlogère, 1943, 39, p. 579. Accessible sur Rero.doc

[15] Dans les années 1950 ce système stop sera modifié pour que l'arrêt se produise en tirant sur la couronne et non en poussant.

[16] Journal Suisse d'Horlogerie, 1957, 5-6, p. 192 – Accessible sur The Watch Library

[17] Brevets CH 260 356 et CH 280 369

[18] Journal Suisse d'Horlogerie, 1957, 5-6, p. 193 – Accessible sur The Watch Library

[19] Journal Suisse d'Horlogerie, 1951, pp 374 ss – Accessible sur The Watch Library

[20] FOSC 1945

[21] La Suisse Horlogère, 1954, 4, p. I

[22] L'Impartial, 11 Juin 1958, p.9. La composition de la CHP variera par la suite.

[23] Journal Suisse d'Horlogerie, 1966, 5, p. 748 – Accessible sur The Watch Library

[24] La Suisse Horlogère, 1968, 1, pp 20-26

[25] L'Impartial, 15 mai 1971, p.5

[26] Interview de René Calame dans La Suisse Horlogère, Edition hebdomadaire, 1970, 23, p.861

[27] Journal Suisse d'Horlogerie, 1972, 4, p.447 – Accessible sur The Watch Library

[28] L'Impartial 20 novembre 1974, p.5

[29] L'Impartial 20 novembre 1975, pp 1 et 3

[30] L'Impartial 11 décembre 1975, pp 1 et 5. En fait ce retard technologique était tout relatif puisque de nombreuses montres à quartz était produites en Suisse. Mais les sociétés électroniques américaines étaient, elles, capables de diminuer leurs prix d'un mois sur l'autre.

[31] L'Impartial 29 avril 1976, p. 15

[32] L'Impartial 7 août 1978, p. 3

[33] L'Impartial 22 novembre 1978, p. 5

[34] L'Impartial 11 août 1989, p.4

[35] L'Impartial 27 août 1997, p.6

[36] Elle sera placée au centre du cadran à partir de 1952

[37] Journal Suisse d'Horlogerie, 1952, 1, p.39 – Accessible sur The Watch Library

[38] Journal Suisse d'Horlogerie, 1958, p.  – Accessible sur The Watch Library

[39] Par exemple : https://www.gearpatrol.com/watches/a679061/watches-you-should-know-1953-zodiac-sea-wolf/ consulté en février 2024

[40] Journal Suisse d'Horlogerie, 1964, 2, p.274 – Accessible sur The Watch Library

[41] L'Impartial, 1er mai 1976, p.5

Notes : 

Concernant Time To Tell : Time To Tell dispose de l'une des plus grandes bases de données privées numérisées sur l'histoire de l'horlogerie suisse avec plus de 2,3 To de données sur plus de 1000 fabricants de montres suisses. Cette base a été construite sur une période d'une trentaine d'années et continue à être alimentée d'environ 50 à 100 Go de données chaque année. Cette base de données est constituée de documents anciens, en majorité des revues professionnelles suisses, allant de la fin du 19e siècle à la fin du 20e siècle. La plupart de ces documents ne sont pas disponibles sur l'Internet. Les articles historiques publiés sur le site time2tell.com citent toujours les sources utilisées.

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